Mr Flash + Louis La Roche + Goldigger + Beware the Beat + Fake VJ

  • NIGHT CLUBBING
  • La Grande Salle
  • Production : TP

Carte blanche à Jugger Records

en partenariat avec TSUGI

MR FLASH (Paris, FR.)

Cette soirée risque d’être méga love, qu’on se le dise ! Louis La Roche d’un côté avec sa moiteur hédoniste façon french touch 1.0, et Mr Flash de l’autre, le «Monsieur Sexe» de Ed Banger, crate digger de choix, DJ remarquable et auteur d’une poignée de disques complètement cinglés mais absolument parfaits, pour ce monde cinglé qui est le nôtre. Parler de Mr Flash, c’est comme parler d’un vieux copain. Première sortie du label Ed Banger au moment où la french touch tournait en rond, Mr Flash a en effet inauguré le label superstar que l’ont connaît par «Radar Rider», véritable bombe hip-hop electro qui retourne encore aujourd’hui n’importe quelle soirée : un gars à part on vous dit. Alternant compilation énorme de musiques de films érotiques des années 70, remixes à la pelles et maxis terribles dans lesquels beats hip-hop et hymnes disco font l’amour bruyamment, Mr Flash semble être l’artiste le plus libre de l’écurie Ed Banger, le plus fou aussi, le plus drôle et le plus hédoniste... et peut-être le plus imprévisible derrière des platines ! Beaucoup moins exposé que ses collègues de bureau, Mr Flash n’en reste pas moins LA figure emblématique d’un label connu pour vénèrer autant le hip-hop que les pistes de danse, la décadence et les couleurs. Et Mr Flash, c’est tout ça à la fois. Pour preuve son dernier disque, «Blood Sweat & Tears», qui passe les doigts dans le nez de la disco moite de «Domino» au hip-hop crâmé orientalisant de «Couscous» à l’énorme turbine flashy sexuelle de «Flesh», du disco-punk-funk de Motorcycle Boy à la sucrerie soul-funk robotique (encore sexuelle) de Powerlight. Un artiste hors norme, hors cadre, jouissif et champion ex-aequo avec Mr Oizo de l’humour absurde élevé au rang d’art majeur. UN MUST ! (FL)

LOUIS LA ROCHE (Norwich, UK) 

Louis La Roche, 19 ans, est anglais mais sa musique sonne comme de la french touch de 1998. Son premier morceau, envoyé il y a trois ans sur le net et signé « TB » à connu un énorme buzz : tout le monde a cru (à raison) que c’était un nouveau titre de Thomas Bangalter de Daft Punk et BAM, 250 000 vues sur youtube en un clin d’oeil ! S’amusant à envoyer également ses propres remixes des Chemical Brothers, Gorillaz, Basement Jaxx, Prince ou Michael Jackson, Louis La Roche est devenu en quelques coups de maître le pourfendeur d’une house «à la française» remise au goût du jour par un anglais à peine sorti de l’oeuf. Mais le jeune homme est coquin, et il s’amuse à brouiller les pistes en s’apprêtant à sortir une mixtape sans aucun titre house... mais tout en continuant de sortir des maxis TRES TRES house, qui rappellent le son de la fin des années 90, avec une fraîcheur toute anglaise en plus, très «love», loin des attitudes et de l’imagerie hard-rock poilue de Justice et ses suiveurs, par exemple. Une autre facette du clubbing des années 10, carrément «Sea, Sex & Sun». Ca sent bon le début des vacances ! (FL) 

GOLDIGGER (Tours, FR.) 

Du nid douillet de la folle jeunesse clubbeuse tourangelle commence à éclore quelques oisillons qui, à peine le bec sorti de la coquille, rêvent déjà de grands espaces et piaillent d’impatience de pouvoir s’envoler et rejoindre l’armada de leur aînés pour partir loin, loin dans le ciel. Goldigger n’a que 17 ans, mais a déjà le feu dans les doigts. Dans les pas de Brodinski (référence en matière de success story chez les jeunes DJ), notre jeune tourangeau n’a pas attendu qu’on lui donne des cours pour se jeter tête la première dans ses platines, et surtout dans son ordinateur bourré de logiciels de son dont il a rapidement compris le fonctionnement. En très peu de temps, plusieurs titres signés Goldigger sont apparus ici et là sur le net, et l’histoire était prête à commencer : ayant vite compris que la scène était primordiale pour faire parler de soi, Goldigger s’est incrusté chaque fois qu’il le pouvait dans des soirées, jusqu’à recevoir les compliments de deux de ses «idoles», Brodindki et Don Rimini... L’histoire n’est qu’à son début certes, mais le bolide est sur la ligne de départ, le plein est fait, les pneus sont neuf, 3, 2, 1... go ! (FL)

BEWARE THE BEAT (Tours, FR.)

C’est souvent dans la cour du lycée que les « vibes » se font et les rêves de création commencent à émerger. C’est le cas avec Pierre et John, deux jeunes électroniciens qui ont commencé avec une idée simple : créer un groupe. Un milieu plutôt rock pour l’un, et pour l’autre plus électronique (Pierre, avant la formation de Beware The Beat, mixait pour le fun). Comme la technologie n’attend pas les retardataires, Beware The Beat s’est créé assez rapidement (février 2010) et dans l’urgence. Une façon de mettre la pugnacité de l’esprit du rock dans une électro … forcement Trash. Entre disco, tech-house et scies circulaires à la Boys Noize, les deux producteurs préparent actuellement un 1er EP à sortir prochainement.

[FAKE VJ] navigue entre clubs, lieux insolites et festivals depuis deux ans avec ses images rétro futuristes, son amour assumé du pixel et une énergie débordante qu’il fait littéralement exploser dans ses vidéos : ouvrez grand vos yeux ! (FL)

 

Flesh / flash / Ed Banger / Sexe / danse / fête / disco / hip hop / yeehaa ! MR FLASH
house / french touch revival / sexy beats / remix LOUIS LA ROCHE
Techno / Tours / Moustache GOLDIGGER
electro / house / techno / folle jeunesse / teenage wasteland / iDM / future sound of Tours BEWARE THE BEAT
pixel / rétro futuriste / vj [FAKE VJ]